Joker, tu n’as pas changé
Toujours à te repaitre de la bêtise humaine
A croire que ça fait écho à la tienne
Dans une autre dimension, je t’aurai renié et craché à la gueule
Mais bon, comme le dit Candide, il faut de tout pour faire un monde
Tiens, écoute ça plutôt
« Che Guevara se trouvait alors, à Alegría de Pio au cœur même du combat. Il était en compagnie d’un de ses camarades, Faustino Perez, lorsqu’une rafale de fusil mitrailleur, que rien ne pouvait différencier des autres, les faucha tous les deux :
´ … Allongé par terre, tout me semblait perdu. Je tirai instinctivement un coup de fusil en direction de l’ennemi.
J’essayai d’imaginer la meilleure façon de mourir. C’est à cet instant qu’un vieux livre de Jack London (L’appel du Wild) me revint en mémoire : condamné à mourir de froid dans les régions glaciaires de l’Alaska, le héros était appuyé contre un arbre et il se préparait à terminer sa vie avec dignité.’
Cette fois encore, la splendeur mystique de l’aventure vient l’assaillir à une période cruciale de sa vie de « professionnel » de la révolution. Devant la mort, son imagination se peuple soudain de chimères, le vitalisme du révolutionnaire se transforme. Ce n’est plus un soldat, c’est un condottière, c’est un héros de légende. La réalité a fait place à la mythologie.
Ainsi l’aventurier assume jusqu’à la fin une condition impossible : fuyant et cherchant la solitude, vivant pour mourir et mourant pour vivre, convaincu à la fois de la vanité de l’action et de sa nécessité, essayant de justifier son entreprise, en lui assignant un fait dans lequel il ne croit pas. Il est sans cesse hanté par la peur de parvenir à ses fins parce que sa victoire serait une défaite, dans la mesure où elle lui fermerait les portes de toute action future.
Pour Guevara la cristallisation de son pouvoir politique à La Havane, de son pouvoir militaire dans les Sierras, de son autre destin possible - médecin d’une petite agglomération urbaine - auraient été autant d’implacables murailles pour son angoisse viscérale.
Une angoisse qui, bien que différente de celle qui accompagne la vocation révolutionnaire, sans gloire, ne l’a jamais lâché jusqu’à la mort. »
Le slogan "The Fucking Friendly Family" est associé à la marque Snowgunz, un fabricant français de monoskis. Ce slogan reflète l’esprit convivial, décalé et passionné de la communauté monoski, souvent mise en avant lors des rassemblements comme ceux organisés par Monoski-France.
merci l`IA
Donc je dirais le G-Turn d´après la couleur